GENERATION SACRIFIEE…
Aujourd'hui, le Premier ministre, aussi droit dans ses bottes qu'un de ses prédécesseurs, s'entête à vouloir maintenir le CPE pourtant refusé par une majorité grandissante de jeunes et de citoyens. Il préfère soutenir ses amis du patronat, qui au nom de la liberté d'entreprendre voudraient surtout obtenir la liberté de licencier sans aucune contrainte et en finir avec le code du travail.
- [10] mars
SAÔNE-ET-LOIRE